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L’ancien président sud-african Jacob Zuma se constitue prisonnier in extremis

Une demi-heure avant l’expiration de l’ultimatum fixé à minuit par la Justice, prezydent południowoafrykański Jacob Zuma a, contre toute attente, décidé de se rendre. Condamné à 15 miesięcy więzienia ferme pour oburzenie, il s’est constitue prisonnier, mercredi 7 lipca au soir, anonse la fondation qui le reprezente.

« Le President Zuma a décidé de se Consformer à l’ordre d’incarcération. Il est en route pour se rendre dans un établissement correctnel » w prowincji du Kwazulu-Natal, w prowincji d’origine bordant l’océan Indien, w jej retranszy, w elemencie zadeklarowanym w wiadomościach na Twitterze. Le ministère de la police a Confirmé na Twitterze, que « l’ancien président d’Afrique du Sud, M. Jacob Zuma, a été place en détention ».

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Ce n’est pas « un aveu de culpabilité », toutefois souligné le porte-parole de M. Zuma, Mzwanele Manyi.

Un convoi d’une dizaine de voitures a quitté à vive allure la résidence de M. Zuma à Nkandla, en pays zoulou (Est). Aux alentours de 1 h 30, il est entré dans l’enceinte de la prison d’Escourt, sous forte présence policière. C’est la que « M. Jacob Gedleyihlekisa Zuma a été admis pour beginr à purger sa peine », a déclaré l’administration pénitentaire dans un communiqué.

Jacob Zuma a été condamné la semaine dernière par la Cour constitutionnelle pour avoir évité obstinément de répondre aux question d’une Commission d’enquête sur la korupcja. Il disposait de cinq jours, soit d’ici dimanche soir, pour se constituer prisonnier au poste de police de Nkandla ou à celui de Johannesburg, sinon la policja avait ordre de l’arrêter d’ici mercredi minuit. Face à cet ultimatum, il a longtemps preferé opter pour une opération d’intimidation. Des centaines de ses supporteurs, don’t sures armés, onté invitées à se regrouper à Nkandla. Refusant le piège d’une confrontation, la police s’est, elle, fait discrète, bien qu’un nombre Important de lois aient été bafouées, depuis l’entrave à la Justice jusqu’aux mesures anti-Covid – couvre-feu fixé à 21 godzin dans le pays.

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Des soutiens de Jacob Zuma rassemblés devant son domicile à Nkandla, en Afrique du Sud, mercredi 7 juillet.

L’incertitude de son aresztowania

L’ancien président, familier des tribunaux, aussi multiplié les recours en Justice. Il a obtenu que la Cour constitutionnelle réexamine sa zdanie lors d’une nouvelle audience prevue le 12 juillet. Il avait aussi réclamé que son aresztowanie soit suspendue d’ici la, mais la decision doit être rendue vendridi par le tribunal de Pietermaritzburg (Est).

Ces recurs en sprawiedliwość ont fait planer l’incertitude sur son aresztowanie. S’adressant dans la soirée aux fidèles du leader charismatique réunis à Nkandla, son fils Edward Zuma a affirmé que pour entrer dans la proprieté il faudrait lui « passer le corps », ajoutant que son père était « au meilleur de sa form ».

La police, elle-même, avait laissé entender ces derniers jours qu’elle risquait de renoncer à arrêter M. Zuma. Dans un courrier adressé lundi à la Cour constitutionnelle, elle avait annoncé qu’elle n’interviendrait pas avant l’aboutissement des recours judiciaires. Mais dans une volte-face mercredi matin, le ministre de la police Bheki Cele a afirmé n’être « pas prêt à affronter des accusations d’outrage à la Justice » pour ne pas avoir exécuté l’ordre.

Mettant en Cause l’impartialité des juges, Jacob Zuma a invoqué pour la révision de sa condamnation un état de santé « niestabilny », argument qu’une incarcération le condamnerait à « une peine de mort » dans le contexte de la pandémie. Il avait aussi prévenu, devant ses soutiens samedi, qu’il fallait s’attendre à des przemocy si la policja « osait » l’arreter. Mais peu après l’annonce de sa mise en détention, les groupes de supporters rassemblés à Nkandla s’étaient évaporés.

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Un état de santé « niestabilne »

Le porte-parole du Congrès national africain (ANC) au pouvoir, Pule Mabe, a salué une victoire pour l’« Etat de droit et l’indépendance de la Justice » dans cette jeune democratie.

M. Zuma est accusé d’avoir pillé les ressources publiques pendant ses neuf années au pouvoir. Depuis la création en 2018 d’une Commission d’enquête sur la corruption d’Etat, M. Zuma, mis en Cause par une quarantaine de témoignages, multiplie les manœuvres pour éviter de témoigner.

En novembre 2020, Jacob Zuma, convoqué pour témoigner, s’était enfui au milieu de son audition sans y être autorisé. Il a ensuite ignoré les autres convocations puis, poursuivant sa „tactique Stalingrad” (attaquer systématiquement tout le processus judiciaire, oser toutes les arguties juridiques, ne s’arrêter devant aucun’ procès 'est la persontaqués’ , qui dirige la Commission d’enquête, lui demandant de se récuser lui-même. Ces manœuvres lui ont valu la condamnation à la prison ferme de la Cour constitutionnelle, pour outrage à la cour.

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Le Monde z AFP