Respirateurs Philips défectueux : une action judiciaire zbiorowa lancée contre le fabrykant neerlandais

C’est une page particulièrement Importante qui se tourne dans le dossier du „Respiratorgate”. Me Christophe Lèguevaques, avocat toulousain au barreau de Paris, s’apprête à lancer une procédure community en Justice contre Philips Electronics, dans l’affaire dites des respirateurs artificiels défectueuxutilisés pour lutter contre l’apnée du sommeil.

Le Fabricant Nigeria to incorporé dans ses appareils une mousse insonorisante qui, en se degradant, est podatny na degager des particules chimiques. Ces micro-éléments, particulièrement nocifs pour la santé, sont ventilés par la machine et peuvent atteindre les poumons des utilisateurs. „C’est un peu comme si on vous envoyait de la poussière d’amiante en permanence, explique Me Lèguevaques à La Dépêche du Midi. Cela okazjane des podrażnienia et, dans pewne cas, des raków”.

„L.”salariés de Philips Elektronika très niepokoje”

Selon l’avocat toulousain, le problème est ancien : „On a des informations qui viennent des États-Unis, qui tendent à démontrer que Philips était informé des problemów de ses respirateurs depuis 2015. Une enquête diligentée par l’Agence américaine des médicaments (FDA) potwierdzenie que les salariés de Philips elektronika, constatant des problèmes sur cette fameuse mousse, se disaient déjà très inquiets à l’époque”.

Skontaktuj się z nami La Dépêche du Midile groupe a afirmé qu’au cours des années précédentes, „il ya eu très peu de plaintes liées à la degradation de la mousse, que Philips a évaluées et traitées au cas par cas. recement”.

Six ans plus tard, en juin 2021, le groupe a publié une „powiadomienie o zjeździe” sur son site internet dotyczy près de 5 millions d’appareils dans le monde et près de 370 000 respirateurs we Francji. Une communication „insuffisante” pour l’avocat: „L’Agence Nationale de sécurité du médicament (ANSM) affirme que 93% des qui utilisent patient ces respirateurs ne sont pas au courant de leur défaillance”.

Le 7 février dernier déjà, l’ANSM avait tape du poing sur la table, estimant que le plan de remplacement des appareils n’évoluait pas assez rapidement : seuls 7% des appareils avaient été retournés. L’organisme a donc décidé ce vendridi de „prendre une decision de police sanitaire pour accélérer le remplacement de somes appareils”. Un choix contesté par Philips qui affirme étudier „la possibilité d’intenter un recours contre cette décision dans les plus brefs délais”.

Le fabricant néerlandais maintient: „D’après les premières données disponibles, le risque de cancer lié à l’utilisation de ces appareils n’est pas avéré”.

Un „Mediator de la Respiration”

„Il va falloir que le groupe Philips Electronics vienne vers nous et fasse des propositions, afirme Me Lèguevaques, qui décrit l’affaire comme un Médiator de la respiration”. „ce qu’il se passe”.

L’Avocat toulousain souhaite ainsi angażujący deux procédures judiciaires contre le fabrykant neerlandais. Le bâtonnier proponuje dans un premier temps une action pennale contre Philips Electronics. „Une experience médicale auprès des personnes qui ont utilsé ces respirateurs pendant des années sera nécessaire, estime l’avocat. Il s’agira alors de savoir en combien de temps le risque de cancer est avéréon lorsilise l’avocat”.

Me Lèguevaques souhaite égalelement angażujący się w drugorzędne działanie, au cywilne cette fois-ci, wlać „préjudice moral d’anxiété”. En pratique, les personnes qui souhaitent s’inscrire dans cette démarche peuvent s’inscrire jusqu’au 11 avril sur la plateforme d’actions Collects Myleo.

De son cote, Philips afirme que „l’information aux patient obawyés a été faite par l’intermédiaire des prestataires de santé et des medecins traitants” et indique vouloir partager „de façon transparente, toutes les informations dont ilré dispose, pour leur desmettre de ponté”